Vacances, j'oublie tout....
Pour mieux recommencer dans dix jours!
Pendant que je ne suis pas là, allez donc fouiller dans mes archives ;)
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Vacances, j'oublie tout....
Pour mieux recommencer dans dix jours!
Pendant que je ne suis pas là, allez donc fouiller dans mes archives ;)
Rédigé par Estelle Radwan le 15 février 2007 à 19:55 dans humeurs (de femme...) | Lien permanent | Commentaires (1) | TrackBack (0)
Lola nous raconte comment l'homme qu'elle a rencontré s'est très rapidement senti responsable d'elle après l'amour, alors qu'elle même s'était d'abord sentie "obligée" de passer la nuit avec lui...
On entre alors dans tous nos malentendus, vous savez de ces malentendus qui nous "prennent la tête"!
Bon, ok, l'épisode du chat n'est pas nécessaire mais comme ça vous savez ce qui se passe dans ma vie: je viens de récupérer le chat de mon amie Sandrine, pour lui rendre service, et franchement j'espère que ça va pas durer la vie...Il s'en passe des trucs dans ma vie, c'est incroyable!
C'est drôle parce que je pensais que nous ne nous étions rien dit de bien intéressant pendant cette "soirée" puis en écoutant et réécoutant, il y a là quelque chose d'assez intéressant sur notre psychologie féminine, messieurs, me semble-t-il, mais c'est à vous de nous le dire....
On a de drôles de fantasmes parfois, Juliette y va très fort, moi un peu moins, Lola n'est plus dans l'"histoire", mais au moment où l'on s'avoue ces fantasmes de "soumission" (parce que finalement rêver d'être une prostituée ou bien d'être entretenue par un homme, c'est quand même un peu la même chose non? non, ce n'est évidemment pas la même chose, mais il y a quelque chose... ) on se demande si être gatée ne serait pas aussi se gacher...la vie?
A discuter, évidemment....
Rédigé par Estelle Radwan le 12 février 2007 à 23:36 dans our ladies nights | Lien permanent | Commentaires (0) | TrackBack (0)
Ne manquait plus que Juliette pour que la soirée soit complètement réussie, mais ce dîner entre Lola, Lucas et moi était complètement improvisé.
Lucas nous raconte son histoire: Elle vit à Los Angeles, lui est reparti à Paris après l'avoir vue une fois dans sa vie...pour ne plus l'oublier! Deux ans d'attente? Il s'accroche, et hésite.
C'est alors qu'on se demande si l'homme ne serait pas une femme comme les autres?
Une phrase intéressante de Lucas : "L'amour c'est comme la guerre, il y a une déclaration et un armistice...et je trouve que les nanas ne veulent pas faire l'armistice et c'est un peu dommage..."
Et là on n'a plus de doute, on n'emploie pas les mêmes mots pour dire les mêmes choses.
Appel à la population maculine:
Et si vous veniez dîner avec nous, vous aussi?
Rédigé par Estelle Radwan le 09 février 2007 à 21:38 dans our ladies nights | Lien permanent | Commentaires (0) | TrackBack (0)
Les LADIES ce soir là n'avaient pas le moral, par solidarité (enfin vous savez comment ça marche la solidarité, qui vient de la compassion qui vient souvent de "hmmm ça me rappelle quelquechose" ou "et si ça m'arrivait à moi") avec notre Juliette en plein chagrin d'amour.
On essaye de faire diversion en parlant de...oui oui la chose (enfin!) et hop aussitôt on replonge dans cette histoire compliquée de deux personnes qui s'aiment mais, devinez quoi, ne parviennent pas encore à vivre cet amour en toute simplicité, c'est pas dingue ça?
J'ai hésité à mettre la vidéo en ligne par peur de vous "plomber" un peu, mais puisque j'ai dit tous les lundis et comme on est lundi, bah voilà, c'est fait.
Ce n'est peut-être pas si mal, à vous de nous dire.
Et en parlant de vous, si VOUS nous disiez un peu ce que vous aimeriez savoir?
J'aimerais aussi entendre les femmes, d'autres femmes: vous reconnaissez-vous dans nos Ladies Nights? Qu'aimeriez-vous dire?
Et tiens j'aimerais qu'on se mette dans la peau d'un homme (merci Emery pour l'inspiration), pour voir.
Moi je sais déjà quel homme je serais si j'étais un homme, et je vous dis ça bientôt...
Rédigé par Estelle Radwan le 05 février 2007 à 23:21 dans our ladies nights | Lien permanent | Commentaires (0) | TrackBack (0)
Emery, celle-là est pour toi, et oui je sais, je réagis un peu tard.
Ce matin je me suis réveillée... différente. C'est d'abord un son inhabituel qui m'a fait bouger de mon lit: une déflagration qui a relevé mon buste, qui m'a surprise et rassurée en même temps, comme si j'en étais soulagée. Je me suis retrouvée assise sur le bord du lit, les jambes écartées, je me grattai la tête puis, tout de suite après, ces parties poilues que je découvrais entre les jambes..., ah tiens, ça doit être mieux de se les gratter quand on est debout, alors je me suis levée, et j'ai continué une sorte d'exploration manuelle de ce qui pendouillait maintenant entre mes jambes. Hummm, belle taille la bête, cette seule pensée me mis de bonne humeur, comme si la taille de cette chose suffisait à me redresser, prête à affronter le monde et ses périls. Coup de bol, je suis un homme et j'ai un grand sexe.
Premier coup d'oeil dans le miroir de la salle de bain: hummm belles épaules bien musclées, un torse velu, très beaux les abdos, comment ai-je fait pour conserver ces jolies vagues régulières avec toutes les cochonneries que j'avale depuis des années? Hier soir je m'étais couchée en me promettant de ne rien avaler aujourd'hui vu que j'ai toujours ces deux kilos à perdre...Quelle drôle de pensée, ça me paraît presque malsain d'avoir pu imaginer un truc pareil!
Je suis contente d'être un homme ce matin. Ne me demandez pas pourquoi ni comment, mais je ne suis pas surprise, j'accepte juste ce qui se passe là: être un homme et avoir encore un peu de cette conscience féminine. Déjà, je ne me pose plus de questions, comme ça paraît simple!
Bon, allez, un tit café, et en plus on est dimanche, super, c'est jidédé.
Je n'ai pas encore regardé le temps qu'il fait, j'ai l'impression d'être bien, mais comme dans un brouillard qui ne se dissipera qu'après avoir bu mon café. Et puis je me fous du temps qu'il fait. Je suis un peu agacé de m'être réveillé si tôt, je ne vais pas me stresser de si bon matin avec "la vie qui n'attend pas et tout ce qu'on devrait faire tant qu'il fait beau"...comme c'est bizarre, ces pensées d'un monde déjà loin.
L'évier de la cuisine est propre, vide, il y a quelque chose qui ne va pas dans cette maison. J'ai eu cette impression furtive déjà tout à l'heure dans la salle de bains...oui, ça y est je me souviens maintenant: ça sentait bizarre, la rose ou je ne sais pas bien quoi, et tous ces tubes de..., quoi? Des crèmes, shampooings, parfums, une grosse serviette en éponge bien pliée sur le porte serviette, c'est super rangé ici.
Bon, ok, c'est rangé mais en attendant moi je ne trouve pas le café, et les bols, mais où est ce qu'elle a bien pu mettre les bols?
ELLE? Comment ça ELLE?
Non mais je déraille complètement là...je suis seul et ça fait un moment et c'est bien comme ça, allez on se reprend.
"CHERI?"
Ah la vache, j'ai bien failli m'évanouir sous le choc, cette voix, le placard, me suis redressé trop vite, ouille, mal à la tête...
"CHERI?"
Tout à coup, j'ai peur.
Quelqu'un m'appelle depuis la chambre. Une femme. Oui, pas de doute non plus là dessus, la voix, mais aussi l'intonation...comme une forme de supplique déguisée en poupée affriolante.
QU'EST CE QUE JE FAIS?
Première pensée: je me tire d'ici!
Deuxième pensée: non, c'est elle qui dégage, suis chez moi, non mais!
Troisième pensée: C'était comment avec elle déjà? Ah j'arrive pas à remettre mes pensées en ordre, allez, on se secoue et on y va, faut voir quand même...
Lorsque j'arrive dans la chambre, je découvre le sourire de....ma femme. Voilà, ça me revient, on est ensemble depuis cinq ans, on s'est même mariés l'année dernière, oui, elle était enceinte c'était plus pratique, enfin c'est ce qu'elle m'avait dit, aujourd'hui le petit est chez ses grand-parents, mes parents en fait, je ne leur parle plus beaucoup depuis la naissance du petit, je ne sais pas bien pourquoi, c'est étrange, je suis heureux, j'aime ma femme et mon petit garçon, je serai finalement très content d'aller me balader avec eux tout à l'heure, c'est vrai il fait beau, il faut en profiter, ah le sourire de ma femme, c'est drôle comme un sourire peut réconforter, l'impression que tout ira toujours bien, que rien ne peut arriver maintenant....
Puis ma femme a une drôle d'attitude, elle se touche les seins, comme si elle les découvrait pour la première fois....
Rédigé par Estelle Radwan le 04 février 2007 à 12:52 dans Entre Nous | Lien permanent | Commentaires (3) | TrackBack (0)
J'ai assisté la semaine dernière à l'Assemblée Générale du MEDEF -une première pour moi-, j'étais invitée par un de leur "communiquant" qui est un ami blogueur. Cette assemblée générale était aussi l'occasion de lancer le livre blanc de l'organisation, ouvrage collaboratif signé par Laurence Parisot: "Besoin d'air"
Je ne suis pas experte en économie, ne suis ni pour ni contre les patrons, ne connais pas bien l'histoire de cette organisation patronale, j'ai entendu parler de celui qui avait initié le changement en créant cette nouvelle appellation MEDEF (Ernest-Antoine Seliière a créé le Mouvement des Entreprises de France), ai tendu l'oreille en 2005 lorsque Laurence Parisot lui succédai au trône, ai pensé tiens c'est bien, une femme, puis comme j'ai pris l'habitude de me désintéresser des débats politiques, je n'ai pas cherché à mieux la connaître.
L'association est apolitique, pourtant les sujets abordés font tous partis du débat politique.
Le 25 janvier donc, le Palais Omnisport de Bercy était empli de costumes gris et noirs surmontés de cravates. Cette uniformité cependant ne m'a pas trop dépaysée par rapport à celle que j'observe dans mon quartier, le 20ème, à quelques détails près bien sûr. C'était gris, masculin, et pas très jeune dans la salle, mais étonnamment chaleureux. 6000 chefs d'entreprises étaient ainsi venus reprendre un peu de souffle auprès des leurs et de leur leader charismatique.
Ouverture de l'Assemblée générale par Jean-Paul Mauduy.
La video ne montre pas assez l'impressionnante carrure de cet homme. J'ai adoré son enthousiasme et sa sincèrité, j'ai juste regretté une forme d'"ignorance" (j'imagine cependant plus une volonté de positiver due au contexte) des problèmes rééls qui se posent aujourd'hui dans le monde de l'entreprise.
Tous les maux de nos concitoyens et tous ces livres, sujets sur la souffrance au travail ne sont quand même pas des inventions?
Les entreprises souffrent et ont besoin d'air, ce sera le thème de cette matinée, la raison officielle du rassemblement.
Le message passera au travers de discours positifs et stimulants pour construire "ensemble" (propositions concrètes à l'appui) et faire mentir les "déclinologues et démagogues" que Laurence Parisot abhorre, car elle le répétera aussi: "jamais le monde n'a été aussi riche qu'aujourd'hui."
Les entreprises qui bougent
Des entreprises qui donnent un nouveau visage au medef
Avoir fait entrer la préoccupation des chefs d'entreprise dans le débat public n'a pas dû être simple en son temps (Ernest-Antoine Sellière), aujourd'hui il s'agit d'aller encore plus loin en montrant le rôle vital des entreprises ("l'Entreprise c'est la vie") en France et la nécessaire écoute de leurs besoins qui en découle, et pourquoi pas, en allant toujours plus loin, d'appliquer leur fonctionnement à nos institutions publiques, d'où découlerait alors le bien être de tous. N'avons-nous pas tous besoin d'air?
Laurence Parisot aime l'économie, elle l'a déjà dit et elle veut faire aimer l'économie aux français, on aura donc droit à un cours magistral: intéressant mais impossible de juger sans étudier plus avant ses données et les comparer à d'autres.
Ce qui m'a paru extrêmement intéressant c'est la mission de dialogue économique qu'elle a confié à sa collaboratrice Véronique Morali (très impressionnante Véronique, dans sa détermination et générosité évidentes): il est question de "bouger les lignes ensemble", de créer des passerelles entre nous tous dans un esprit décloisonnant. Ils sont là dans l'expérimentation, évidemment l'idée me plaît.
Le dialogue se fait avec tous, les jeunes, les partenaires sociaux, les magistrats, les élus PS (alors qu'on les croit de droite, le sont-ils vraiment par choix profond?), les enseignants, les journalistes..
Toutes les valeurs exposées sont humanistes et ancrées dans l'action. La créativité est en marche!
Je dois vous dire que l'énergie et les idées étaient bel et bien présentes tout au long de cette matinée.
Dans cet esprit, j'ai aimé aussi le mélange des genres: l'hommage à l'abbé Pierre (il sera juste fait mention que le Medef met à la disposition de l'association le matériel technique pour le rassemblement en sa mémoire prévu le soir même à Bercy), les citations de Jaurès et Virgile, cette métaphore bien étudiée d'un monde qui se contracte et finit par étouffer sous la pression fiscale...
Ainsi en bougeant les lignes encore, peut on imaginer appliquer les fonctionnements de l'entreprise aux services publics, mais aussi inversement, en s'inspirant de nos contrats civils, appliquer aux entreprises l'ouverture, la souplesse qu'on a permis aux couples et donc à l'individu pour lui garantir sa liberté d'action et donc sa dignité.
C'est l'une de ses grandes idées et de celles qui m'ont interpellée:
L'idée de transférer la possibilité du divorce pour consentement mutuel au nouveau couple employé-employeur. Il s'agit là d'entériner un fait de société: on ne passe plus sa vie dans la même société, comme on ne passe plus sa vie marié à la même personne. Facilitons nous la vie, autorisons nous à nous quitter simplement en cas de désamour. Ok.
Mais alors, si l'on parle divorce on est obligé de parler du mariage et des étapes qui mènent à l'union et au désamour.
Repensons alors l'évidence:
Comment on se rencontre?
Comment on se séduit mutuellement?
Comment on vit ensemble?
Comment on se sépare?
Et le tout dans un rapport égalitaire pour permettre un dialogue véritable entre deux êtres humains.
Et on doit alors parler contrat, car plus on est libres, plus les cas particuliers de contrat se multiplient, non? Il serait peut être nécessaire d'y consigner les raisons du mariage et le but de l'association (faire des enfants, se soutenir l'un l'autre etc..)
Le rapport peut-il être égalitaire afin de garantir la bonne (juste) application du contrat?
Peut-on juger son patron comme l'employé l'est aujourd'hui à l'occasion de l'entretien de fin d'année?
Le dialogue entre le chef d'entrepris et l'employé existe-t-il réellement aujourd'hui pour garantir la bonne compréhension de cette démarche?
Tous ces contrats particuliers, est ce que ce ne serait pas encore plus contraignant finalement?
Et si on parlait d'amour, alors?
Parce que finalement j'ai bien l'impression que c'est de ça dont il s'agit: on n'aime plus son travail, son patron, l'entreprise, les emloyés, les contraintes imposées par son pays, la morosité ambiante, etc.
L'amour entre l'employé et l'employeur ne pourrait sans doute exister sans le respect préalable à toute entente, et donc sans dialogue.
Aujourd'hui les deux parties se retrouvent trop souvent obligées de se choisir par nécessité, et entrent alors dans la relation de codépendance qui fait souffrir.
Comment faire pour que l'employeur ne craigne plus la richesse (différence) de ses employés et trouve la force de les exploiter dans l'intérêt de tous, donc de l'entreprise? Comment faire pour que l'employé ne craigne plus les foudres de son patron dont il dépend pour son salaire et arrête de se couler dans le moule qui le déshumanise?
Comme en amour, il s'agit sûrement là de prendre des risques des deux côtés. S'ouvrir en dialoguant?
J'imagine des "Ladies Nights" adaptées au monde de l'entreprise...une sorte de "caméra café" façon réalité...je me dis toujours que les patrons apprendraient beaucoup en écoutant ce qui se dit sur leur management, les joies et frustrations de chacun, et les employés aimeraient certainement connaître davantage des enjeux auxquels doivent faire face les chefs d'entreprise.
"Ce que traduit notre désir de liberté (...) : c’est notre certitude que chacun saura faire bon usage de l’espace qui lui sera laissé, et trouver l’occasion d’y déployer son talent et sa créativité.
Ce que je lis dans la volonté répétée de plus de liberté, d’un peu plus d’air, pour nous, pour les entreprises, pour la France, c’est notre, c’est votre confiance en l’homme."
Voir le discours de cloture de Laurence Parisot.
Où je me situe?
Je me suis toujours sentie proche d'une idée plutôt libérale parce qu'il me semble avoir toujours fait confiance à l'homme. L'expérience évidemment m'a fait maintes fois réviser mon jugement, mais je ne saurais vivre autrement qu'en accordant cette confiance à priori.
J'ai créé "ma petite entreprise" à 25 ans et j'ai adoré cette expérience malgré ses difficultés.
J'ai travaillé dans un grand groupe, j'en suis sortie justement parce que j'étouffais.
J'ai écrit un roman inspiré par l'expérience que j'avais vécue dans cette entreprise: il y était beaucoup question de jeux de pouvoir et de relations perverses, oui ça existe souvent aussi...
J'y retournerais bien maintenant, plus armée face à la réalité des rapports humains, et plus volontaire: il faut vouloir changer le monde ou tout du moins marquer sa différence pour se sentir vivre, en entreprise, et partout ailleurs...
Et si vous nous racontiez comment ça se passe pour vous dans l'entreprise?
Rédigé par Estelle Radwan le 02 février 2007 à 23:02 dans Les ponts qui font les liens | Lien permanent | Commentaires (3) | TrackBack (0)
La semaine dernière j'ai assisté à l'Assemblée générale du MEDEF à Bercy, ce fut une matinée passionnante.
(J'ai quelques soucis avec la mise en ligne des vidéos, le compte rendu sera donc plutôt pour demain...)
En attendant, voici un extrait d'EN(TRE)PRISES à la lecture duquel on ne peut soupçonner mon amour de l'entreprise, et pourtant...
Rédigé par Estelle Radwan le 01 février 2007 à 22:42 dans EN(TRE)PRISES | Lien permanent | Commentaires (0) | TrackBack (0)
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