Rédigé par Estelle Radwan le 07 janvier 2007 à 11:01 dans humeurs (de femme...) | Lien permanent | Commentaires (2) | TrackBack (0)
Rédigé par Estelle Radwan le 06 janvier 2007 à 22:37 dans humeurs (de femme...) | Lien permanent | Commentaires (0) | TrackBack (0)
Je me suis tue. Trop longtemps. A en étouffer. A me tordre dans tous les sens sans espoir de retrouver le chemin.
Par vanité qui méritait d'être punie?
Ha comme je regrette parfois d'avoir été élevée coupable,...satanée culpabilité, elle m'a toujours agrippé le pied dès que je souhaitais grimper, enfin surtout en pleine grimpe. Et pourtant je suis une sacrée grimpeuse, je le sais ça, je peux faire beaucoup, tout ce que je veux parfois j'ai l'impression, j'ai une énergie dans le ventre et les neurones qui me poussent à la prouesse pas pour ça mais pour savoir et aimer, à fond la caisse.
J'hésite à parler de lui puisqu'il n'a aucun intérêt et puiqu'on est d'accord, ce qui blesse c'est avant tout ce qu'on recèle d'ignominie coupable dans les entrailles.
Ce type (il mérite quand même la grande tarte que vous voudrez bien lui mettre sur la figure, s'il vous plaît), il avait voulu me toucher un jour, il avait fait ses avances spirituelles, spirituelles c'est ce qu'il croyait, il était encore surpris que ça n'ait pas marché, que je n'aie pas répondu à cette avance en pirouette, son cloche pied emmêlé supposé m'envoûter (ah mais là il dirait que ça ne veut rien dire, qu'un cloche pied ne peut être emmêlé etc. ...lisez son mail vengeur ci-dessous, vous allez franchement rire!!! il m'a fait rire assez vite aussi, après quelques heures, maudites heures, je regrette juste d'avoir accepté d'être transpercée par la lame de son petit doigt d'homme vil, ce petit doigt qu'a tapé son petit mail, sur sa petite machine, après un verre de calva de trop? ou bien était-il juste sobre cette fois-ci, pour une fois?), son cerveau à lui se rêvait si grandiose qu'il était sans arrêt surpris de se prendre le trottoir, à sa hauteur, lorsqu'il en dégringolait après sa cuite hebdomadaire de fin de semaine, après son dur labeur de commercial...Ahhh il travaille pour XXX (un grand quotidien), quel beau journal, ahhhhh voici donc sa chance de peut-être écrire un jour, ah oui j'ai oublié de vous dire, il veut écrire, lui aussi, encore un, un roman, bah tiens, et puis quoi encore? (c'est lui qui est capable de dire: "pour qui se prend-il/elle, écrire un roman!!!" mais qu'est ce que ça a de si extraordinaire de vouloir raconter une histoire absolument? de dire avant que ça ne vous étouffe? ce n'est permis qu'à certaines personnes? et comme en amour, il y a des règles à suivre? tenter de se faire entendre c'est déjà suivre une règle bien exigeante, le savez-vous petit monsieur?), ah mais c'est que lui il veut écrire pour ne jamais être oublié, pour marquer son temps, une rupture, inventer ce que l'humanité n'aurait jamais osé avant lui, sans lui, tenter l'inatteignable, car au fond de lui , il pense bien qu'il en serait capable, mais quand même il en a un peu honte, alors non décidément il ne le fait pas, il ne peut pas faire ça... comment ça il en a honte? mais je m'égare complètement là, cet homme n'est pas doué en sentiments, non, il n'a pas honte, il est juste trop fatigué, déprimé, pas aidé, il a pas eu de chance, et le monde est trop injuste, hein??? c'est ça qui vous empêche petit monsieur d'y aller, allez, avouez que le monde a été tellement méchant avec vous!!!!
Avouez que vous aimeriez dans votre esprit d'enfant que le monde ait été différent, grâce à vous, euh non, pour vous, qu'il vous attende ce monde qui ne s'est pas mis à votre heure, qui est trop décalé déjà...puisqu'il vous a toujours rejeté derrière des bureaux métalliques.
Je vous déteste petit monsieur d'avoir osé tenter de me toucher ce soir là avec votre ignominieux mail, avec votre seul doigt autorisé, ce doigt qui m'a fait l'effet d'un coup de poignard dans le ventre, qui m'a laissée tremblante de fièvre pendant toute une nuit, ce doigt qui m'a fait pleurer des jours entiers, je vous déteste d'oser ces gestes là, je ne vous permets pas, pas vous!!! Le reste est mon histoire bien sûr, mais votre geste petit monsieur, c'est le crachat que je vous ai finalement autorisé sur mon essai, oui cet essai qui m'était permis, celui de m'exprimer!
Et vous m'avez fait vaciller sous ce doigt, non c'était pas par plaisir, comment une femme pourrait-elle avoir le plaisir (attention je parle de pureté ici, un mot que vous ne sauriez utiliser) que vous ne cherchez que pour vous mêmes. Pauvre petit monsieur, je vous déteste du plus profond de mes entrailles. Rejet absolu.
Mes doigts sont lourds et vengeurs sur ce clavier, le voyez-vous, sentez-vous les claques qu'il veulent vous assèner, sentez-vous la douleur qu'ils veulent dire? Et pourtant je sais déjà qu'ils ne vous atteindront pas, vous ne lierez pas.
Pourquoi polluer ce blog avec vos écrits? Pour moi, dire enfin que vous avez déclenché ça chez moi, dire que c'est dangereux des types comme vous. Pour d'autres petits messieurs, qui se saoulent souvent comme vous, pour oublier ce vide, ce trou béant dans lequel vous tentez de mettre du sentiment, mais bon, ça se fabrique pas ces choses là, c'est comme le souffle dans un roman, c'est pas à la virgule ou dans le mot (parfois si) qu'on le sent, c'est sur la longueur, j'ai ça moi, du souffle, je le sais, et je vous emmerde.
Pour les autres, leur dire que des gens comme vous, ce n'est rien, absolument rien, c'est un absolu vide tellement surprenant qu'on n'y croit pas et pourtant je vous assure il y a des gens morts autour de nous qui ne peuvent que s'agripper à vos basques pour sentir, un peu seulement, ce que c'est que de vivre, c'est pour eux une question de survie!
Pour les autres encore, pour leur dire de continuer, d'avancer malgré tout.
Et finalement peut-être pour lui, qu'il trouve sa famille (je me doute bien qu'il y en aura pour trouver ça vraiment bien cette ordure du dessous) et qu'ainsi en groupe recomposé on puisse mieux les reconnaître tous ces zombies, youhou!!!
Votre fureur contre mon roman ne peut s'expliquer que comme ça: j'ai le sentiment qui vous touche là où c'est creux et vous ne supportez plus l'écho que ça provoque, pauvre petit monsieur!
A partir d'aujourd'hui, je refuse pour toujours de parler aux morts, c'est extrêmement dangereux, en dehors du fait que ce soit évidemment complètement idiot (mais bon y'a des morts qui cachent bien leur jeu hein?), parce que ça fait tourner en rond, et moi j'aime pas les idées courbes!
Basta!!!!
Lisez la suite en dessous si vous n'avez pas peur des morts:
Rédigé par Estelle Radwan le 06 janvier 2007 à 02:15 dans EN(TRE)PRISES | Lien permanent | Commentaires (2)
ELLE RAME....
C'est quoi l'histoire?
.....
Mais Estelle est soulagée lorsqu'il part....il y a plein de ces petites choses du quotidien, comme d'imaginer les chaussettes à ranger derrière lui ad vitam eternam...?! ça ou autre chose....Il est enrobé, ok, il prend beaucoup de place partout où il va, ok, elle finira quand même par dire que ce qui lui fait peur, c'est la place qu'il pourrait prendre dans sa vie,... ah bon? Tiens tiens...
Et si elle avait seulement peur?
Attention, les âmes sensibles devraient s'abstenir de regarder cette vidéo, car c'est idiot comme la vie des fois, c'est vache et doux à la fois, c'est trop réel, c'est elle et nous tous à la fois !!!!
Et bien sûr, comme un livre qu'on écrit, la vérité est sûrement encore ailleurs, à chercher toujours.
Rédigé par Estelle Radwan le 03 janvier 2007 à 19:45 dans our ladies nights | Lien permanent | Commentaires (1) | TrackBack (0)
J'ai écrit un roman (et je vous ai déjà un peu dit pourquoi et comment), son titre: EN(TRE)PRISES, et tenté là une adaptation à notre monde contemporain du célèbre Dracula de BRAM STOKER , hum, ambitieux non?
Ici, je vous livre quelques extraits qui me paraissent être en phase avec ce que je vois ou vis moi même.
Il est aussi clair que j'ai écrit ce roman en m'inspirant de ce que j'avais vécu. Je ne sais pas si l'imagination pure existe.
Pourtant ce n'est finalement pas une autobiographie, absolument pas d'ailleurs.
J'aimerais tellement savoir parler, mais je crois que seule l'écriture et l'action me conviennent, l'imagination et l'expérience réelle, l'une servant l'autre très souvent, toujours pour moi. Curieusement, la parole m'est devenue difficile après l'écriture. Je ne sais pas bien pourquoi.
C'est difficle de savoir d'où vient l'inspiration, tout ce que je peux dire c'est que l'idée d'un second roman a germé lors de mes vacances (incroyable séjour!) en Grèce, sur une petite Île dont je taierai le nom rien que pour me la garder à moi seule (houuuuuu)
Le soleil, le repos, ok tout ça doit contribuer au réveil de l'imagination qui prend la place du vide, mais pour moi c'est plutôt le choc des rencontres, des situations, les observations contradictoires, les puzzles à reformer, les pelotes à démêler, les tous petits trucs incroyables de la vie qu'on pense évidents jusqu'au jour où on réalise qu'on est seul au monde à les voir...et là ça devient urgent de dire, sauf à se retrouver dans une prison de solitude insupportable!
J'écris aussi pour recréer ma réalité (plus supportable) tout en cherchant la vérité, je crois bien que c'est de cette contradiction que jaillissent les surprises.
Pourquoi cet extrait?
Le réveillon s'est passé chez moi, avec de bons amis et d'autres personnes que je connais moins mais dont j'ai apprécié la chaleur, finalement il n'y a rien à voir là avec cet extrait...le récit des copines alors peut-être?
Résumé de l'histoire:
Annabelle rentre à la LPG (la plus grande chaîne de télé française) après avoir longtemps vécu en Inde et être enfin revenue vers Paris, des rêves plein la tête...Corinne, directrice de la chaîne, pratique sur elle et les autres femmes de l'entreprise un harcèlement particulier.
Une autre histoire se déroule parallèlement en Inde entre Marie-Claude (médecin psychiatre à l'Ambassade de France de New Delhi) et Martin, un de ces fous de l'Inde qui harcèle des touristes souvent fascinés par le personnage.
Annabelle qui est chargée de présenter l'émission politique (voir extraits précédents) populaire du moment, tombe amoureuse d'un de ses clients, un homme dans les bras duquel Corinne l'aura aussi un peu pressée...
L'homme est froid et la pousse souvent dans ses travers, comme la jalousie.
On est donc p 104:
Rédigé par Estelle Radwan le 02 janvier 2007 à 20:46 dans EN(TRE)PRISES | Lien permanent | Commentaires (2) | TrackBack (0)
Juliette soigne son chagrin d'amour avec l'aide du "petit", elle s'attend au pire et ne souhaite rien de plus. Estelle, elle, se décide aujourd'hui d'aimer un homme qu'elle a repoussé autrefois, parce que cet homme ne correspondait alors pas à ses "standards", comme dirait Lola. Et tout ça nous fait bien rire, aussi... |
Rédigé par Estelle Radwan le 02 janvier 2007 à 19:33 dans our ladies nights | Lien permanent | Commentaires (2) | TrackBack (0)
Les ladies et moi, on a (aurait pu) écouté ça en boucle:
Téléchargement 208_crosses.m4a
Viking Moses des Crosses
Rédigé par Estelle Radwan le 01 janvier 2007 à 20:18 dans humeurs (de femme...) | Lien permanent | Commentaires (0) | TrackBack (0)
Joyeux Noël...
Rédigé par Estelle Radwan le 24 décembre 2006 à 13:58 dans humeurs (de femme...) | Lien permanent | Commentaires (0) | TrackBack (0)
Rédigé par Estelle Radwan le 24 décembre 2006 à 13:54 dans humeurs (de femme...) | Lien permanent | Commentaires (0) | TrackBack (0)
LA VIE EST BELLE!
J'écris après avoir lu cette note de Cyrille...comme lui j'ai pas aimé les commentaires qui sont venus polluer quelques blogs dernièrement, j'ai arrêté de les lire d'ailleurs, c'est vrai que ça finissait par me donner la nausée les méchants qui crachaient leur venin...pour dire quoi finalement? une frustration, de la colère, heu quoi d'autres? je n'ai rien entendu d'autre à vrai dire, et je n'ai pas besoin de ça, personne n'a besoin d'entendre ce qu'on se répète à soi même déjà suffisamment à longueur d'année...bah oui, parce qu'on s'en trimballe tous des colères et des frustrations, non?
Alors quand le grand VINVIN a passé son coup de gueule et s'est remis en cuisine pour nous faire la recette du Homard à la vanille en plagiant honteusement ...Abba, Dave? je sais plus et je vais pas me remater 20 minutes de video (Bonjour America) pour vous faire plaisir...eh bien le sourire m'est revenu, puis le rire!
Puis j'ai senti qu'il ne partirait pas comme ça, qu'il n'abandonnerait pas le navire (son blog) et les moussaillons dont il a maintenant la responsabilité (si si Cyrille...TU ES RESPONSABLE maintenant! Mais non je plaisante...je t'assure JE PLAISANTE...tu fais ce que tu veux! et merci encore pour ça!), parce que j'ai eu peur à un moment je dois l'avouer, à un moment seulement, qu'il abandonne, et ce moment c'est celui où je décide d'arriver (je vous ai déjà dit que j'étais lente?) mais plus important encore ça correspond au moment où tout le monde arrive, et c'est justement là qu'il faut s'accrocher, et continuer de faire croire à un possible meilleur...enfin c'est ce que je pense, mais je peux me tromper, hein?
C'est quoi le possible meilleur? Plus de démocratie grâce à internet? La liberté vraie d'expression?
Pour moi, ça marche, grâce à ce blog et mon intérêt pour les autres, je rencontre de belles personnes qui ouvrent un peu mon horizon et satisfont ma curiosité, et puis je peux dire ce que je veux, si je me débrouille bien il paraît même que je peux le faire savoir.
Quant à savoir si les gens veulent user de cette liberté là, c'est une autre question, assez fondamentale, finalement, puisque c'est la question même de la liberté...celle qui fait qu'on peut s'aventurer sur des terrains inconnus et celle qui apprend à respecter l'expression de l'autre ?(mais je ne saurais même pas dire ce qu'est la liberté). M'enfin on apprend ça où, à être libre?
Parfois je me demande ce qu'on peut attendre lorsque le matin, au bureau ou ailleurs, chacun se gratifie d'un "bon courage" pour aller faire les courses, du sport, aller au boulot, faire les achats de Noël...Je vais vous éviter le discours sur ceux qui auraient vraiment besoin qu'on leur souhaite "bon courage" (c'est vrai mais c'est connu), parce qu'en fait c'est aussi vrai que l'entreprise, le métro, les grands magasins, c'est devenu l'enfer! Mais c'est comme si c'était un plaisir de s'y plonger...puisqu'on y retourne sans cesse.
Je suis comme toi Cyrille, je méprise les cons, les aigris, tous ceux là qui les méprisent autant que nous d'ailleurs. Ca m'a toujours étonné cette façon qu'on a tous de tout critiquer, de tous détester et aimer les mêmes choses, et de continuer à s'empéttrer dans la bataille, ça, voilà, ça me semble ouvertement CON.
Alors Internet là dedans, je ne vois pas en quoi on devrait y mettre les illusions qui dépassent l'outil.
On ne va pas changer l'humain, quand même? Ou bien peut-être? Un peu? Ok, personne ne devient libre contre sa volonté ! Et on ne forcera personne...elle est quand même bien bonne celle là, un signe des temps sûrement (tiens faudrait penser à relire "la servitude volontaire").
Mais il faudrait peut être quand même commencer à regarder ce qui se passe là, parce qu'avec tous les outils qui se développent, dans pas longtemps, notre monde il est complètment virtuel!!! Et moi je me dis que c'est sûrement le moment pour en profiter et changer les choses, avant que ce soit juste que du copier coller, non?
Moi aussi j'ai mes illusions...Et si on commençait par se rencontrer, apprendre à se connaître, arrêter d'avoir peur, essayer de s'aimer un peu, beaucoup, passionnément (pour ceux que ça intéresse encore...euh moi?...), pourquoi pas se dire qu'on va changer un peu quand même, en ayant de meilleures relations?
Avec Internet, j'ai plus de relations, bah oui c'est plus facile de se rencontrer, je veux dire de se connecter (vous avez remarqué que dans le métro on se marche plus dessus qu'on ne se rencontre vraiment n'est ce pas?), et puis paradoxalement, ça me donne plus envie de parler dans la vraie vie, ça me permet aussi d'être plus concentrée, et à l'écoute donc.. Et puis y'a des vrais truc qui changent quand même dans cette histoire, et franchement moi ça continue de m'émerveiller: tout le monde peut venir commenter ici, discuter, je peux discuter avec les gens (s'ils le veulent aussi) que je ne connais pas, il peuvent se parler entre eux, et chacun choisit son salon.
Oui, ça morcelle, c'est vrai, les petits groupes se recréent, mais libre à vous, nous , tous de faire l'effort de frapper à la porte, et peut-être de prendre le risque de s'en prendre une, et alors? C'est grave ça?
C'est comme d'aller faire ses courses une veille de réveillon, ça peut tuer?
Les LADIES NIGHTS m'amusent, on se dit là de vraies histoires bien futiles au regard de l'avenir du monde, c'est sûr..et en même temps on y va cash sur nos relations, parce qu'on se doute bien que c'est pour tout le monde pareil, pas facile...et que c'est déjà bien de pouvoir s'en causer!
C'est aussi simple que ça et pour des raisons qui m'échappent quand même un peu c'est pas simple pour tout le monde...Alors que fait la police? Remettre de l'ordre là dedans? Contrôler le système? Mais on se contrôle déjà suffisamment les uns les autres non? De grâce, pas ça, laissez les Loic Le Meur, Vinvin et cie (sans les mettre dans le même panier) s'exprimer en tout liberté, car au final on y gagnera tous!
Et JE T'AIME!
Rédigé par Estelle Radwan le 23 décembre 2006 à 20:19 dans humeurs (de femme...) | Lien permanent | Commentaires (0) | TrackBack (0)
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